D’après une étude de KPMG, relayé par le site de BFM http://www.radiobfm.com, les salariés en difficulté dans l’informatique pourraient se tourner vers les organisations mafieuses. La cybercriminalité est en passe d’augmenter avec de nouvelles recrues tentées par le côté obscur de la force.
Il y a t-il une menace sur les informaticiens au chômage pour se tourner du côté obscur de la force ? D’après une étude de KPMG, le risque existe et n’est pas négligeable. "Le contexte économique pourrait pousser d’anciens salariés à récupérer des données confidentielles de l’entreprise pour les revendre ou des programmeurs sans emploi à se faire enrôler pas des organisations cybermafieuses. La tentation est encore plus forte dans les pays émergents", écrit le site "où les salaires des informaticiens sont dérisoires par rapport à ce que peut rapporter l’illégalité".
Les vendeurs de solutions antivirales comme Kaspersky détectent toutes les heures 64 nouvelles menaces informatiques, et c’est un chiffre en constante augmentation. Crise oblige, "il y a plus de cerveaux disponibles sur le marché, et des cerveaux vulnérables". La crise attise donc les tentations, et peut drainer de nouveaux informaticiens au chomâge. C’est une menace à prendre en compte selon KPMG.
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